CONCOURS LLUMIERELIVE - 7.38/10
Me suis trompée Mal lu les consignes, bien fait pour moi...na na na mais j'aimerai toujours le COQUELICOT!
Un texte bien écrit mais vous parlez de la plante...je voulais l’inverse...que la plante s'exprime
donc un hors sujet, dommage de ne pas bien lire les consignes.
Oui laissons à la nature sa parure, mais parfois elle s'offre à nous pour ses vertus médicinales, ne détruisons surtout pas ses racines, elle refleurira... Une superbe plaidoirie en faveur de la nature notre mère. Dommage que ce ne soit pas la plante qui parle...
Dommage que la plante ne parle pas, mais si touchant !
De beaux vers en alexandrin qui font rêver mais les consignes n’ont pas été respectées puisque c’est la petite fille qui décrit le coquelicot et non la fleur qui parle.
J’ai été conquise par l’apologie faite à cette fleur fragile mais oh combien belle. Vraiment « un joli tableau champêtre» que j’ai imaginé en lisant ce poème.
Le rubis des champs
Joyeuse enfant, je batifolais dans les prés,
Les chemins ombragés quand je fus attirée
Par une fine fleur délicate et fragile,
Au cœur d'ébène ourlé d'une rangée de cils...
Coquette, elle s'est parée d'une robe de soie,
Rubis chatoyant se soulevant gracieusement
Sous un doux zéphyr, les bleuets sont en émoi,
Soyeuses corolles penchées amoureusement...
Hypnotique et éclatante beauté éphémère,
Je brûle de te tenir au creux de ma main,
Mais que deviendront ta vie et tes lendemains ?
Je ne te laisserai qu'un souvenir amer...
Te cueillir pour te transformer en princesse,
La main innocente de l'enfant devient cruelle,
Le symbole de ta frêle ardeur n'a de cesse
Que de sauver ta Liberté, ton Essentielle...
Ne cueillons pas les fleurs des champs,
Laissons les vivre au chant dansant
Quel joli mot Coquelicot,
Au creux des blés joli tableau !
Composé le 03 MARS 2016 – Jacqueline/Prose16
Me suis trompée Mal lu les consignes, bien fait pour moi...na na na mais j'aimerai toujours le COQUELICOT!
Un texte bien écrit mais vous parlez de la plante...je voulais l’inverse...que la plante s'exprime
donc un hors sujet, dommage de ne pas bien lire les consignes.
Oui laissons à la nature sa parure, mais parfois elle s'offre à nous pour ses vertus médicinales, ne détruisons surtout pas ses racines, elle refleurira... Une superbe plaidoirie en faveur de la nature notre mère. Dommage que ce ne soit pas la plante qui parle...
Dommage que la plante ne parle pas, mais si touchant !
De beaux vers en alexandrin qui font rêver mais les consignes n’ont pas été respectées puisque c’est la petite fille qui décrit le coquelicot et non la fleur qui parle.
J’ai été conquise par l’apologie faite à cette fleur fragile mais oh combien belle. Vraiment « un joli tableau champêtre» que j’ai imaginé en lisant ce poème.
Le rubis des champs
Joyeuse enfant, je batifolais dans les prés,
Les chemins ombragés quand je fus attirée
Par une fine fleur délicate et fragile,
Au cœur d'ébène ourlé d'une rangée de cils...
Coquette, elle s'est parée d'une robe de soie,
Rubis chatoyant se soulevant gracieusement
Sous un doux zéphyr, les bleuets sont en émoi,
Soyeuses corolles penchées amoureusement...
Hypnotique et éclatante beauté éphémère,
Je brûle de te tenir au creux de ma main,
Mais que deviendront ta vie et tes lendemains ?
Je ne te laisserai qu'un souvenir amer...
Te cueillir pour te transformer en princesse,
La main innocente de l'enfant devient cruelle,
Le symbole de ta frêle ardeur n'a de cesse
Que de sauver ta Liberté, ton Essentielle...
Ne cueillons pas les fleurs des champs,
Laissons les vivre au chant dansant
Quel joli mot Coquelicot,
Au creux des blés joli tableau !
Composé le 03 MARS 2016 – Jacqueline/Prose16
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